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Les cons lisent !

Les cons lisent !

 

Les grands auteurs d’aujourd’hui sont des zigotos politiques en toc, nos nouveaux Hugo, Balac, Zola, le vicomte De Villiers ventrachoux, Zemmour de rire, Bardella le dépendeur d’andouille, le siècle des lumières quasi.

Non, je n’oublie pas le Papabile de la littérature françaouaise, futur Nobel et postulant pour un fauteuil à l’académie, sitôt ce sera le mieux, qu’un sera déserté par un bienheureux défunt pour que l’Sarkosy l’égosillé d’la plume y pose son gros derche.

Qu’on dira du côté de Neuilly et de la villa Montmorency quel beau jour pour la république !

Que, perso, j’ajoute, des copains et des coquins.

Sans aucune acrimonie, juré, craché que si je mens, direct les chaudrons de l’encorné mondain d’Astaroth prince des Enfers.

Pas un minet le gonze.

Qu’était une déesse avant de changer de genre.

Comme quoi, rien d’bien nouveau sous l’soleil de Satan.

Que tout ce bousin pour en revenir à nos immenses littérateurs de rien qui font du chiffre dans l’édition.

Et le chiffre, ça le vaut.

Que même pas besoin de lettres et pourtant.

Des possédés ces porte-plumes aux ambitions goncouriales.

Faut l’être pour qui, ainsi que l’innocent du siècle, incarcéré à la santé pour une soit-disant association de malfaiteurs, non pas avec les autres gratte-papelards précités, mais avec des malandrins en vue d’un financement supposé d’une campagne supposée électorale supposée.

Nous sommes donc, tiens, tiens, en plein dans l’occultisme.

Ce qui n’est pas, oh la la non, de bonne augure pour ce qui nous occupe.

Donc, pour se remettre dans la course, les cons lisent et même beaucoup, et même trop.

Et, peut-être, encore un égarement.

Mais qui sont ces dévoreurs de livres politiques en toc ?

Pas des smicards, une certitude, qui n’ont pas la thune à suffisance pour distraire le prix d’un livre de leur larfeuille qui prend l’eau dès le quinze du mois.

Nan, plutôt ceux de la classe moyenne et moyenne supérieure.

Qui ont le fric, le désir et le loisir de lire.

Et qui donc, votent pour ces perclus d’la plume de l’extrême droite.

Alle est pas belle la vie !

Plus t’es naze dans ta tronche de merlan frit mort d’amour, plus que tu ramasses de la thune en « littérraturant » tes p’tites morvelles d’idées à deux balles.

C’t’un peu gonflant pour d’autres sachants lirent qui aiment plus Sartre que Bardella le dépendeur d’andouille, plus Giono que l’vicomte de mes deux, l’de Villiers Ventre à choux, Clavel que Zemmour de rire jaune et enfin Pagnol plutôt que le prisonnier de la tour d’la santé que c’est p’têt’pas d’main la veille qu’il va en sauter et s’tirer, p’t’êt’, là encore rien d’sûr.

Comme souvent, comme toujours dans l’histoire, les friqués aiment bien s’encanailler à l’extrême droite.

Plutôt Hitler que Staline !

Que même si ce sont deux hideux notoires, le communisme, pour ses penseurs, ça y’en avait plus bono bézef que le fascisme.

Qu’un taré du type de Staline, doublé d’un super médiocre, triplé d’une inculture crasse, quadruplé, quintuplé, sextuplé de toutes les tares possibles, entourloupe le monde entier, Minus, le monde entier, nous en avons des duplicatas aujourd’hui, Trump l’agent orange amerloque, babayaga Putine, le tsar de toutes les russies en vrac, Le secrétaire générale du parti communiste chin’toque, Xi Jinping-pong et tant et tant d’autres péteurs plus haut qu’leurs culs qui polluent la couche d’ozone.

Et nos têtes, alouette, alouette !

Ceux d’en bas n’enrichissent pas les éditeurs qui publient les flatulences, des «auteurs» présumés de celles-ci car, le bagage intellectuel de ces fauteurs de Français sont, de l’avis que je partage, bien infoutus de rédiger une ligne de texte sans l’encacater de fautes de toutes natures, syntaxe, grammaire, vocabulaire, ponctuation, logique.

J’en oublie ?

Mais un bon plan pour les nègres, ces moines bénédictins qui marnent dans l’ombre épaisse de l’anonymat pour faire croire que les plumes sergent major du monde politique sont d‘éminents rédacteurs. Le miracle de cette croyance tient aux bouches cousues par le gros pognons des ventes pléthoriques éditoriales.

Merci Bolloré !

Ce grand homme, ce grand honnête qui prend sa vessie pour une lanterne.

Que serions nous sans lui et tous ces auteurs contemporains issus des rangs serrés des gribouilleurs de la politique tic toc.

Et, ayons une pensée émue pour ce grand homme d’esprit, enfermé dans un réduit de 9 mètre carrés à la prison de la santé et qui, à peine incarcéré, s’est pris le hibou, caillou, chou pour rédiger les premières lignes du « manuscrit » de son prochain best-seller sur l’histoire édifiante de son association de malfaiteurs, infamante, qui lui vaut cette réclusion criminelle de cinq ans.

Qu’il ne fera pas, rassurez-vous braves (é)lecteurs(trices) friqué(e)s de cet éminent.

Et que moi-même j’en suis content, conchiant de toutes mes forces l’emprisonnement d’êtres humains, d’animaux, de tout ce qui respire par deux trous de nez comme les nous autres ainsi que contre la peine de mort

Heureusement remisée, dans une saleté de passé, où l’on dressait les bois dits de justice pour couper le col de réprouvés la plupart du temps mal nés.

Ces peines sont le fait de la valetaille, des gueux, des sans toits, des sans foi, des qui n’savent pas la loi ou n’ont pas la thune pour s’épargner un avocat d’office.

Vivement son élargissement qu’on fassent la fête dans les ghettos des beaux quartiers !

 

Montjoye Saint Denis !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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