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Mais que fait la marine française ?

Mais, que fait la marine française ?

 

Dont la flottille, qui bulle en méditerranée, laisse faire la marine Israélienne qui arraisonne un navire dans les eaux internationales, considéré comme un acte de piraterie par le droit maritime.

A bord du navire piraté, deux députés françaises.

Et alors ?

Des députés quasi terroristes de l’extrême gauche françaouaise.

Rien à en battre la marine française.

Et ce n’est pas monsieur Brun et le Pitalugue qui vont en remettre une couche.

Et vous savez ce qu’elle vous dit la marine française ?

Hein, vous le savez ? Ce que dit le capitaine du Ferry-boat ?

Oui, j’en ai comme une vague idée.

Pagnol, pas mort, ni César, ni Panisse, ni Marius et son rêve de grand large et Fanny celui de le marier.

La marine nationale supplétif de celle d’Israël ?

Elle en a tous les attributs.

Que ne sont-ils plus là, Surcouf et Jeanne de Belleville.

Qui auraient eut vite fait balayer d’un coup d’faubert les marins d’eau douce coloniaux israéliens.

Des Jean foutres.

Bons qu’à assassiner des loupiots, leurs mamans, leurs papas et toute leur parentèle sous les bombes de leur aviation.

La mitraille de leur soldatesque, les obus de leurs chars, et la famine et la privation d’eau et de soins médicaux.

Mais, est-ce que la marine française en est informée ?

Ou ne barbote-t-elle dans la grande bleue que pour faire des ronds dans l’eau ?

L’Andala succède à une longue liste de navires piratés par les périssoires de la marine en bois sioniste.

Dont le tort impardonnable, venir au secours d’un génocide en cours, apporter des vivres et des médicaments, peluches et bonbons à des enfants morts vivants.

Le feu du ciel ne suffisait pas, la malnutrition pour finir le boulot.

Et que l’occident à des vapeurs de jeune fille pour ne pas venir au secours d’urgence et faire un croche patte aux ricanements de la Camarde.

Que manque un Jérôme Bosch pour illustrer cette fissure tragique de l’histoire humaine.

Ou Goya ou le Picasso de Guernica.

Plutôt que les gnomes qui croient, aujourd’hui, s’faire la main sur le monde.

A quand une brigade de nettoyeurs pour faire le ménage dans les rangs toujours plus nombreux et assoiffés du sang dont nos sillons sont abreuvés.

Faut plus d’tout ça, faut plus de rien.

Que la lutte finale arrête enfin de s’emmêler les crayons dans des pourquoi et des comment.

Debout les damnés de la terre, debout les parias de la faim, tous derrière Sandrine Rousseau !

A l’ assaut du grand capital et des ses soutiers milliardaires.

Par terre le grand Satan amerloque, le Belzébuth Babayaga Moscovite, le Mandarin d’dragon papier chiffon chin’toque et tous ceux qui pataugent dans la fange de la politique en toc.

Faire revivre Monfaucon et ses sinistres gibets qui reprendraient des couleurs en échangeant des pendus.

Qu’à la place des truands des classes populaires, on pende ceux des classes huppées.

Villon opinerait.

Ah ça ira, ça ira, les aristocrates à la lanterne, ah ça ira, ça ira, les aristocrates de la finance ont les pendra !

Et pas pour de rire.

Et malgré, qu’on en rira.

Une bonne pinte pour s’assurer de nos vieux jours.

Avec plein de temps des cerises.

Et de gais rossignols et de merles moqueurs.

La fête à neuneu ininterrompue jusque dans les siècles des siècles.

Et des croisières éternelles sur l’Andala, pour apporter de la joie d’vivre aux opprimés.

Pas d’illusions, c’n’est pas d’main tout d’suite que la paix et la justice régneront.

 

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