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La fête à Neuneu d'un génocide.

La fête à neuneu d’un génocide.

 

« Nous imposons un siège complet sur Gaza. Pas d’électricité, pas de nourriture, pas d’eau, pas de carburant. Tout est fermé. Nous combattons des animaux humains, et nous agissons en conséquence. »

 

Que bave le Ministre de la Défense Yoav Gallant, un grand humaniste assurément.

Depuis 1948, un tout petit pays, la Palestine, subit jour après jour les massacres de sa population au mépris absolu des conventions internationales qui tentent, vainement, d’humaniser l’occupation.

Pas très sympa pour les animaux cette association Humains-animaux éructé par ce pauvre type de ministre de la guerre israélien.

Pas encourageant non plus pour la suite.

Surtout si l’on a le courage d’écouter les commentaires des télés et radios hexagonales.

Qui ignorent systématiquement le rappel des causes de ce désastre humanitaire.

La cause serait plus appropriée.

La colonisation par des européens de ce bout de terre arabe.

Au prétexte biblique que cet arpent du bon Dieu d’bon Dieu, appartient de toute éternité aux descendants d’Abraham qui se sont carapatés d’Egypte y’a d’ça un bon bout d’temps.

Un récit bidon sans aucun fondement historique.

La bible, que les israéliens utilisent comme un cadastre commentait Finkielkraut lors d’une émission télévisuelle.

Une célébrité du PAF qu’on ne peut absolument pas qualifier d’antisémite, je crois.

Et l’utilisation du judéocide nazi pour justifier, là encore, l’occupation.

Qui là encore, toujours et pour longtemps, utilisent le martyr de millions d’européens de confession juive de culture yiddish pour justifier les crimes de l’occupation et surtout leur impunité.

Tout est bidon chez ces gens là.

Tout est mensonge aussi.

Pas pour les commentateurs politiques en toc françaouais.

Qui inversent le propos en expectorant que ce sont les arabes palestiniens, tous terroristes et affabulateurs congénitaux qui ne racontent que des bobards.

Pas un mot sur ce qui se fornique à Gaza à c’t’heure.

Presque cinquante pour cent de ce territoire rasé, des milliers de mort dont la moitié sont des enfants, et ainsi que l’a jappé le ministre de la terreur israélien, rien à boire, rien à bouffer, pas d’jus pour s’éclairer, pas d’carburant pour faire fonctionner les hôpitaux encore debout, pas, pas, pas !

Et tout l’monde qui cause dans l’poste a, comme qui dirait, un gros intérêt à bien prononcer le mot terroriste quand il cause du Hamas.

Pas résistant, terroriste comme les nazis qualifiaient les résistants français lors de la dernière boucherie guerrière de 39-45.

L’affiche rouge.

Dont les noms étaient pour la plupart de consonance hébraïque et les portraits de très jeunes gens.

Morts pour la France dans la chanson d’Aragon.

Alors terroriste n’a rien d’infamant.

Une curiosité bien d’chez nous qui peut expliquer aussi le succès des collabos.

A pas franchement relever le front.

L’Histoire dira, si toutefois le temps de vivre de la planète le permet, si la différence d’appellation de ceux qui résistent a quelque chose à voir avec ceux qui restent au chaud au coin d’leur cheminée ou des collabos qui sont de toutes les batailles du bavardage.

Hessel, à nous !

 

 

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